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DEFICIT PUBLIC : des taxes, toujours des taxes....
S’il est un domaine où la France est imbattable et garde son titre, c’est celui du déficit budgétaire des administrations publiques.
Triste trophée, mais qui visiblement reste tricolore. En 2024, le déficit représentait 5.8 % du PIB (soit environ 170 milliards d’€). Cette année, Houra !, il ne devrait être que de 5.4 %. Pour info, la moyenne des déficits dans la zone euro devrait être en dessous de 3%.
Il y a donc un gros souci de gestion des dépenses publiques. Alors on veut nous faire avaler une taxe, créée par Mr Zucman, relayée par les médias publics principalement. Fort heureusement, celle-ci a été retoquée par la représentation nationale. Cela aurait été une catastrophe pour toutes les entreprises du monde de l’innovation technologique, entre autres.
Mais les projets de taxe pleuvent, lisez plutôt :
· Gel des pensions,
· Suppression de l’abattement de 10 % sur les retraites,
· Augmentation de la TVA pour les micro-entrepreneurs et les artisans,
· Taxe sur les produite de vapotage,
· Taxe de 8 % sur les compléments de salaire,
· Doublement des franchises sur les médicaments et le transport,
J’en passe et des meilleures. Nos dirigeants sont très inventifs dès qu’il s’agit de créer des impôts, mais la source même du problème n’est pas traitée. L’assainissement des comptes publics doit absolument rester une priorité. L’Etat français est trop généreux, et ses dépenses sociales sont abyssales.
Le constat est désolant. Ils envisagent même de surtaxer les successions, avec ces « cadeaux venus du ciel ». Et lorgnent sur l’épargne des Français. Bref, ils ne proposent que des solutions de facilité pour continuer leur train de vie, en refusant de s’attaquer à la racine des problèmes.
L’ensemble des services régaliens sont aux abois. Il n’y a plus de sous dans la caisse…Alors une question se pose : jusqu’à quand peut-on tenir ?